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La ville est assiégée. Dans l'appartement du Professeur, où se sont réfugiés son assistant et Marina, l'étudiante, un seul combustible permet de lutter contre le froid : les livres ...
Tout le monde a répondu une fois dans sa vie à la question : quelle livre emporteriez-vous sur une île déserte ?
Dans ce huit clos cerné par les bombes et les tirs des snipers, l'étincelante romancière du sabotage amoureux pose à ses personnages une question autrement perverse : quel livre, quelle phrase de quel livre vaut qu'on lui sacrifie un instant, un seul instant de chaleur physique ?
Humour, ironie et désespoir s'entretissent subtilement dans cette parabole aux résonances singulièrement actuelles.
Amélie Nothomb, en même temps que ses personnages en temps de guerre, nous met au pied du mur. Et si nous devions brûler nos livres ? Et si nous devions changer d'attitude et de comportement, pour faire face ? Et si enfin nous montrions notre vraie nature ? Si nous arrêtions de mentir ? Sommes-nous des animaux ? Réfléchissons, par delà la beauté et la simplicité de cette écriture.
Un livre qui se lit très vite et qui expose une idée maitresse - la place des livres en temps de guerre. Faut-il brûler les livres pour se chauffer et survivre ou les protéger en cas de fin de guerre. Pas mon préféré de cette autrice mais comme ses autres ouvrages, j'ai tout de même pris du plaisir à le lire.
Je n'ai pas vraiment apprécié ce livre, l'argumentation sur : quel livre brûler en dernier ? Est certes intéressant mais je n'ai pas vraiment apprécié les personnages. L'humour noir m'a cependant assez plus.
La guerre, une bibliothèque, un froid glacial, c'est ce qu'affrontent nos trois personnages. A-t-on le même avis sur un livre selon les circonstances ? C'est aussi une des questions qu'on peut se poser.
« Les Combustibles », qui illustre le talent de dialoguiste de l'auteure, pose la question de savoir jusqu'où nous pousserait notre instinct de conservation si notre survie était en jeu? Perso, je ne le sais pas.....
Encore une fois, Amélie Nothomb trouve le moyen de se raconter et de parler de ses propres souvenirs à travers les dialogues des trois personnages de ce huis-clos. Elle ne le fait pas directement. Pourtant, elle règle bien ses comptes avec l'enseignement supérieur avec la référence au professeur. Bien évidemment, lorsqu'elle a fait ses études (juste les plus courtes à la fac), elle a du être obligée de lire des livres qu'elle n'aimait pas. Alors, à travers le dialogue, elle suscite le débat et se venge en critiquant tout le monde. La question fondamentale est quels seraient les livres à conserver et quels seraient les livres à détruire. Dans le film américain "Le Jour d'après", la catastrophe climatique donne des airs de fin du monde. Pour se réchauffer, les survivants brûlent des livres. Amélie Nothomb déplace la fin du monde, en temps de guerre et reprend la thématique... Et elle décide quoi brûler. Mine de rien, elle donne des idées. Je ne savais pas quoi faire des quatre livres d'Amélie Nothomb que l'on m'avait donné, que j'ai lu et que je n'ai pas du tout apprécié. Je comptais les mettre dans une boîte à livre afin d'en faire profiter d'autres lecteurs. Mais là, j'hésite : dois-je les garder pour qu'ils me servent de combustible ? Une chose est sûre, si je devais moi aussi me trouver dans la situation d'avoir froid, ce seraient ses livres à elle que je brûlerais en premier. Bon, j'espère qu'il n'y aura jamais de guerre et que je n'aurais pas besoin de cette alternative. Mieux vaut les mettre à la poubelle (lieu où ma belle-mère qui les avait elle-même reçus en cadeaux les destinait avant de me les offrir). En bref, ce court roman ne me convainc pas.
Ce livre nous apprend qu'effectivement "tous les goûts sont dans la nature" mais aussi qu'il y aura toujours quelqu'un pour critiquer ce que j'aime de la même façon que je me permet de critiquer ce que je n'aime pas. C'est encore un écrit méta de notre chère Amélie Nothomb qui jonglent entre de nombreuses thématique dans un huit clos qui manie la littérature avec élégance. J'adore et je recommande, je l'ai consumé en 1h
Résumé
La ville est assiégée. Dans l'appartement du Professeur, où se sont réfugiés son assistant et Marina, l'étudiante, un seul combustible permet de lutter contre le froid : les livres ...
Tout le monde a répondu une fois dans sa vie à la question : quelle livre emporteriez-vous sur une île déserte ?
Dans ce huit clos cerné par les bombes et les tirs des snipers, l'étincelante romancière du sabotage amoureux pose à ses personnages une question autrement perverse : quel livre, quelle phrase de quel livre vaut qu'on lui sacrifie un instant, un seul instant de chaleur physique ?
Humour, ironie et désespoir s'entretissent subtilement dans cette parabole aux résonances singulièrement actuelles.
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