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Saviez vous qu'un pays communiste, c'est un pays où il y a des ventilateurs ? Qu'un vélo est en réalité un cheval ? Vous l'apprendrez, et bien d'autres choses encore, dans ce roman inclassable, épique et drôle, fantastique et tragique, qui nous conte aussi une histoire d'amour authentique. Un sabotage amouruex : sabotage, comme sous les sabots d'un cheval qui est un vélo ...
c'est un roman assez étrange, ou bizarries et originalités se mêlent dans un cocktel destabilisant . Pour ma part je ne sais pas trop si j'ai aimé ou non . ce livre m'a vraiment destabilisée .
Pas vraiment passionnant et pourtant j'adore cette autrice! Livre pouvant accompagner le lecteur dans le train ou sur la plage, où l'on n'a pas le courage d'attaquer un « pavé »!
Dans le cadre du challenge que j'organise autour des romans de l'autrice j'ai lu ce mois-ci Le sabotage amoureux qui est le deuxième roman qu'elle a ecrit. Il s'agit d'une relecture pour moi mais je n'avais pas dû le relire depuis une dizaine d'années.
Ici Amélie Nothomb raconte le dépaysement qu'elle a connu entre son départ du Japon et son arrivée en Chine. Fille de diplomate, elle est habituée aux déménagements mais l'ambiance de la Chine du début des années 70 est vraiment un choc pour la petite fille.
Les familles de diplomates sont regroupées dans des quartiers sécurisés qu'Amélie comparent à des ghettos. Les jeux d'enfants se limitent à jouer à la guerre, toujours en quête d'un ennemi en puissance. Un comble quand on pense que tout ces enfants sont filles et fils de diplomates qui œuvrent pour la paix.
Lorsque la petite Amélie va rencontrer Elena, elle va clairement être en admiration devant la petite fille totalement indifférente à son environnement.
Ce roman est très court (la version du Livre de Poche fait 124 pages), j'aime le style de l'autrice comme toujours. Les petites phrases tellement justes et suffisamment piquantes pour me pousser à la réflexion. L'histoire de fond n'est pas ma préférée, mais le monde imaginaire des enfants est sans limite et cette histoire nous le prouve à nouveau.
J'avais adoré le premier livre lu de cette auteure (Stupeur et tremblements). Il n'en est pas de même pour celui-ci. Il est étrange, bizarre, trop bizarre. Je n'ai pas du tout accroché.
Le titre "Le Sabotage amoureux" laisserait volontiers penser à un simple drame... amoureux, à une histoire d'amour entre deux personnages, surtout des adultes. C'est assez trompeur. S'il y a bien des sentiments en jeu, ce ne sont pas ceux que l'on imagine. Amélie Nothomb raconte encore son enfance qui avait déjà été évoquée dans la "Biographie de la faim". Ici, c'est l'épisode en Chine communiste des années 1970. La petite fille a 7 ans. Elle parle à la première personne, avec un ton ironique d'adulte. Au début, il est difficile d'accrocher à son récit où elle parle de ventilateurs, de son cheval (qui est en réalité un vélo). C'est un peu pénible. Ensuite, on finit par comprendre. Elle décrit sa vie quotidienne. Spoiler(cliquez pour révéler) A l'époque, les personnels diplomatiques de tous les pays, présents en Chine vivent dans un quartier, séparés de la majeure partie de la population. Leurs enfants vont dans une école française où les maîtres s'improvisent et sont des incompétents. Les jeunes de toutes les nationalités sont souvent livrés à eux-mêmes et ne semblent pas apprendre grand chose. En revanche, entre eux, ils décident de s'affronter et de se faire la guerre. D'un côté, nous avons les Alliés, et de l'autre, les Allemands. Ces derniers sont victimes d'une xénophobie incroyable. Là, le lecteur découvre avec stupeur qu'ils sont maltraités, roués de coups et plongés sans un bac d'urines collectives avec de l'encre. En plus, ils mangent des yaourts où les "Alliés" ont remplacé la présure par de l'urine... C'est répugnant et révoltant. Entre deux descriptions de la guérilla dans l'école des petits privilégiés gâtés pourris, l'autrice de sept ans donne son avis sur tout : le communisme, ses propres bêtises, son imaginaire bizarre. Selon elle, la Chine rend les gens prétentieux. C'est le pays de la prétention. Néanmoins, Amélie Nothomb n'a pas besoin d'apprendre la prétention en Chine : elle dépasse en arrogance tous les Chinois (qu'elle qualifie de "prétentieux", c'est elle qui l'affirme). Toujours aussi égocentrique, agaçante, elle finit pourtant par rencontrer son maître : une fillette de six ans mignonne, adorable. Cette jolie poupée est la fille d'un diplomate italien et de son épouse indienne. Elle s'appelle Elena et ne se mêle pas à la guerre des autres. Elle vit dans sa bulle... Mystérieuse, belle, parfaite, elle est encore plus insupportable que tous les Chinois prétentieux (décrits ainsi par Nothomb) et qu'Amélie Nothomb réunis. "Fuis-moi je te suis, suis-moi je te fuis", voilà la relation qui s'établit entre les deux fillettes. Nothomb tombe amoureuse d'Elena qui l'ignore royalement. Nothomb trouve la solution. A son tour, elle se distingue par la cruauté, devient méchante. Et là, Elena finit par l'aimer... jusqu'au moment où Amélie redevient normale et lui avoue son amour. Rebelote, Elena redevient l'horrible crâneuse distante... A monstre, monstre et demi. L'histoire d'amour se termine là. Heureusement, les parents d'Amélie sont mutés. Tout est bien qui finit bien pour la gâtée pourrie qui vient de terminer son éducation sentimentale et s'est pris une grand claque dans la figure (mais elle a aussi pris sa revanche, histoire de ne pas perdre la face). Elle s'envole pour New-York où elle traitera ses camarades de classe comme ses esclaves. Quant à Elena, elle continuera à se comporter en prétentieuse. Comme à son habitude, l'autrice imbue d'elle-même adore parler d'elle, ne parle d'elle et surtout se place au centre du monde. Ce livre égocentrique est à réserver uniquement aux inconditionnels amoureux d'Amélie Nothomb. Pour les autres, cet ouvrage inintéressant est à éviter. Ils ne l'apprécieraient sûrement pas... A juste titre !
Roman autobiographique, Amélie Nothomb nous raconte son enfance, comment elle est tombée amoureuse d’une petite fille et comment cet amour a été saboté.
Sous fond de communisme, ce roman est étrange mais grâce au style de l’autrice il se lit très facilement.
Ce n’est pas mon roman préféré mais j’ai passé un très bon moment de lecture.
Une courte histoire, en Chine cette fois-ci, qui ramène aux souvenirs d'enfance d'Amélie Nothomb. L'écriture un peu hors du commun est toujours aussi agréable, mais il n'y a pas grand chose à rajouter pour ma part
Résumé
Saviez vous qu'un pays communiste, c'est un pays où il y a des ventilateurs ? Qu'un vélo est en réalité un cheval ? Vous l'apprendrez, et bien d'autres choses encore, dans ce roman inclassable, épique et drôle, fantastique et tragique, qui nous conte aussi une histoire d'amour authentique. Un sabotage amouruex : sabotage, comme sous les sabots d'un cheval qui est un vélo ...
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