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Dans l'Angleterre du XIIe siècle ravagée par la guerre et la famine, des êtres luttent chacun à leur manière pour s'assurer le pouvoir, la gloire, la sainteté, l'amour, ou simplement de quoi survivre. Les batailles sont féroces, les hasards prodigieux, la nature cruelle. Les fresques se peignent à coups d'épée, les destins se taillent à coups de hache et les cathédrales se bâtissent à coups de miracles... et de saintes ruses. La haine règne, mais l'amour aussi, malmené constamment, blessé parfois, mais vainqueur enfin quand un Dieu, à la vérité souvent trop distrait, consent à se laisser toucher par la foi des hommes.
Justement, votre prestige ne durera pas dès l’instant où ils vous connaitront mieux. Si vous restiez ici, vous perdriez cette aura. On vous verrait vous curer les dents et vous gratter le derrière, on vous entendrait ronfler et péter, on vous verrait de mauvaise humeur, vexé ou migraineux.
Nous ne voulons pas de cela.
Remigius accumulera les faux pas et les erreurs pendant que votre image s’incrustera dans leur esprit, étincelante et parfaite.
J'ai adoré ce roman ( l'histoire avec des personnages très attachants et des méchants qui mérite leur sort ) l'auteur nous mélange des faits historiques avec des faits imaginaires depuis je regarde les cathédrales et les églises différemment et j'ai encore plus d'admiration pour ses hommes et ses femmes qui on construit des cathédrales église et qui vivait dans des maisons en bois dans des conditions très difficile.
J'ai vu récemment la télésérie adaptée du roman de Ken Follett (tome 1, Ellen) et j'ai adoré, alors j'ai eu envie de lire le roman. C'est le premier roman de cet auteur que je lis et je dois avouer qu'après une centaine de pages de lecture, je suis relativement déçue du style d'écriture de K.F., sans compter les longues descriptions qui me semblent parfois superflues. Je ne sais pas si c'est la traduction qui n'est pas bien faite, mais je trouve le style d'écriture un peu "simpliste", sans trop de recherche littéraire, même si certains lecteurs trouvent la lecture fluide, rythmée et passionnante. Si je compare avec d'autres auteurs que j'ai lus depuis des années, je suis à même de voir une grande différence dans la recherche littéraire. Tout ce que je peux dire serait que ce roman est "facile" à lire. Dommage car l'intrigue en elle-même est captivante, tournant autour de la construction des cathédrales, de la succession au trône d'Angleterre au Moyen-Âge, ou tout simplement de la vie quotidienne est gens de l'époque ou dans un monastère. Je vais tout de même persister dans ma lecture, en espérant que les prochaines pages seront plus passionnantes et me feront oublier le style d'écriture.
Dans l’Angleterre du XIIe siècle, ravagée par la guerre et la famine, des êtres luttent, chacun à leur manière pour s’assurer le pouvoir, la gloire, la sainteté, l’amour, ou simplement de quoi survivre. Les fresques se peignent à coups d’épée, les destins se taillent à coups de hache et les cathédrales se bâtissent à coups de miracles… et de saintes ruses. La haine règne, mais l’amour aussi, malmené constamment, blessé parfois, mais vainqueur enfin quand un Dieu consent à se laisser toucher par la foi des hommes.
Fresque historique incroyable, ce roman étire son intrigue sur plusieurs décennies, entremêlant les destins, intrigues, combats de religions et de rois. C’est la première fois que je lis un récit sur cette époque très complexe, et le premier point fort de cet auteur est sa capacité exceptionnelle à nous immerger dans ce temps, les sons, les odeurs, les touchés, j’avais vraiment l’impression d’être au cœur de l’intrigue. La plume de Ken Follet est absolument incroyable.
S’il m’a fallu plusieurs semaines pour venir à bout de ce pavé, la lecture est très fluide, rythmée et passionnante. Les personnages sont magnifiquement bien construits, différents et leur destin s’entremêlent subtilement et magistralement. J’ai tout particulièrement apprécié les personnages de Phillip et d’Aliena psychologiquement remarquables.
L'intrigue en elle-même est captivante, tournant autour de la construction d'une cathédrale à Kingsbridge, de la succession au trône d'Angleterre, ou tout simplement de la vie dans un monastère. On visite l'époque sous différentes classes sociales et regards philosophiques.
Vous l’aurez compris, ce livre a encore été une excellente lecture que je recommande sans hésiter !
Dans l’Angleterre du XIIe siècle, ravagée par la guerre et la famine, des êtres luttent, chacun à leur manière pour s’assurer le pouvoir, la gloire, la sainteté, l’amour, ou simplement de quoi survivre. Les fresques se peignent à coups d’épée, les destins se taillent à coups de hache et les cathédrales se bâtissent à coups de miracles… et de saintes ruses. La haine règne, mais l’amour aussi, malmené constamment, blessé parfois, mais vainqueur enfin quand un Dieu consent à se laisser toucher par la foi des hommes.
Fresque historique incroyable, ce roman étire son intrigue sur plusieurs décennies, entremêlant les destins, intrigues, combats de religions et de rois. C’est la première fois que je lis un récit sur cette époque très complexe, et le premier point fort de cet auteur est sa capacité exceptionnelle à nous immerger dans ce temps, les sons, les odeurs, les touchés, j’avais vraiment l’impression d’être au cœur de l’intrigue. La plume de Ken Follet est absolument incroyable.
S’il m’a fallu plusieurs semaines pour venir à bout de ce pavé, la lecture est très fluide, rythmée et passionnante. Les personnages sont magnifiquement bien construits, différents et leur destin s’entremêlent subtilement et magistralement. J’ai tout particulièrement apprécié les personnages de Phillip et d’Aliena psychologiquement remarquables.
L'intrigue en elle-même est captivante, tournant autour de la construction d'une cathédrale à Kingsbridge, de la succession au trône d'Angleterre, ou tout simplement de la vie dans un monastère. On visite l'époque sous différentes classes sociales et regards philosophiques.
Vous l’aurez compris, ce livre a encore été une excellente lecture que je recommande sans hésiter !
Je n'ai pas lu beaucoup de romans de Ken Follet mais c'est mon deuxième de la série "Les Piliers de la terre" puisque j'ai déjà lu "Le Crépuscule et l'Aube". J'avoue que je n'accroche pas particulièrement à l'histoire. J'ai retrouvé les mêmes mécanismes, les mêmes schémas que dans "Le Crépuscule et l'Aube", ce qui m'a déçu.
Cela dit, l'auteur a réellement un don pour faire de ses personnages des êtres à la fois sensibles et révoltants. Ils ont tous leurs côtés clairs et sombres en fonction de la situation. Le seul que je trouve totalement abjecte (mais en même temps, c'est le but), c'est William. Il en veut à la terre entière à la fin de ce premier tome. Tout le monde est cruel envers lui et sa famille. Il file vraiment un mauvais coton.
Lancé dans la lecture "marathon" de la saga Kingsbridge (du Crépuscule et l'Aube à Une Colonne de feu), j'ai retrouvé dans la première partie de ce deuxième roman une partie des éléments qui m'avaient tant plus dans la préquelle. Il s'agit d'une fresque historique immense, érudite et passionnée, mais aussi d'une déclaration d'amour aux cathédrales autant qu'à leurs bâtisseurs. Je dois cependant admettre avoir été moins entraîné par l'histoire, malgré une qualité indéniable de la fiction, que lors de ma lecture précédente. De même, le développement des personnages de Jack, Philip et Aliéna m'a (pour le moment) moins marqué que celui d'Edgar, Alfred et Ragna. L'évocation de ce double trio permet d'ailleurs d'aborder un dernier point de débat : la similitude entre certaines structures narratives des deux romans, identifiée en raison d'une lecture suivie. Cela ne m'empêchera cependant pas de poursuivre la découverte des intrigues entourant la construction de la cathédrale de Kingsbridge, d'autant plus que l'édition collector du livre par Robert Laffont est splendide.
C’est avec une attente non feinte et des a priori plutôt positifs que je me suis décidé à ouvrir cette première partie des Piliers de la Terre. L’incroyablement renommée de son auteur, Ken Follett, et les retours dithyrambiques presque unanimes au sujet de ce livre m’ont très vite convaincu de me plonger au cœur du Moyen-Âge anglais et de la construction de la cathédrale de Kingsbridge.
Bref, tout ça pour dire que j’attendais beaucoup de cette fresque historique au succès international retentissant. Et comment dire… Dans l’ensemble, j’ai été profondément déçu par cette première partie. Pour tout dire, je crois même être passé totalement à côté de ce livre…
La faute principalement à son écriture qui, et je sais que ce jugement peut paraître sévère, m'a souvent semblé d’une naïveté consternante. Tout est répété, surexpliqué, surindiqué, comme si l’auteur voulait absolument être sûr qu’on ait bien compris ce qui nous été raconté et se sentait obligé de nous prendre par la main à chaque page. Être assisté de cette manière a souvent tendance à m’agacer, et donc à me faire décrocher.
Plus gênant sans doute, cette écriture est à l’origine de conséquences plus problématiques : comme tout est répété, rien ne finit par nous surprendre et les retournements de situations tombent à l’eau. Les dialogues sont parfois loin d’êtres naturels. et, pire, ce sont les personnages qui finissent par nous apparaître cruellement pauvres, caricaturaux et là encore, d’une naïveté dérangeante.
Cela étant, il y a quand même certains éléments qui m’ont plutôt plu : certaines scènes sont plutôt réussies, et on ne peut qu’être reconnaissant du travail de documentation effectué par Ken Follett pour nous plonger de manière réaliste dans ce Moyen-Âge des cathédrales.
Mais est-ce que cela peut suffire à sauver ce livre à mes yeux ? Je n'en suis pas vraiment sûr. Mais je laisse quand même une chance à la seconde partie de me convaincre même si le seul intérêt que je puisse y trouver semble être de découvrir son dénouement.
Résumé
Dans l'Angleterre du XIIe siècle ravagée par la guerre et la famine, des êtres luttent chacun à leur manière pour s'assurer le pouvoir, la gloire, la sainteté, l'amour, ou simplement de quoi survivre. Les batailles sont féroces, les hasards prodigieux, la nature cruelle. Les fresques se peignent à coups d'épée, les destins se taillent à coups de hache et les cathédrales se bâtissent à coups de miracles... et de saintes ruses. La haine règne, mais l'amour aussi, malmené constamment, blessé parfois, mais vainqueur enfin quand un Dieu, à la vérité souvent trop distrait, consent à se laisser toucher par la foi des hommes.
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