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Belgarath et Garion - non, Belgarion, Roi de Riva et Seigneur du Ponant - partent affronter le grand méchant dieu borgne dans sa cité maudite de Cthol Mishrak. Sans prévenir Polgara et Ce'Nedra, qui gratifient la Citadelle de Riva de crises de rage particulièrement inventives. Mais une fois ces petits égarements passés, Ce'Nedra accomplira son rôle dans la Prophétie : mener les Armées du Ponant à la guerre, pour gagner du temps à Garion et à son arrière-grand-père...
"—Tu n'y comprends pas grand chose en fin de compte,
hein ?gouailla-t-il à l'intention de l'orbe
(...)
Mais l’Orbe ne s'intéressait manifestement pas à lui.
-Qu’est ce que tu écoutes comme ça ? demanda curieusement le vieil homme.
L’éclat bleu de l’Orbe vacilla et se teinta d’une lueur rose pâle qui s’intensifia tant et si bien qu’on aurait dit qu’elle rougissait.
Belgarath jeta un clin d’œil pétillant de malice en direction des appartements royaux.
-Oh! dit-il, et il se mit à ricaner.
L’Orbe hésitait à présent entre pourpre et garance.
Belgarath éclata de rire, remit sa botte et se leva. Il ne tenait pas très bien sur ses jambes.
—Après tout, tu comprends peut-être plus de choses que je ne pensais, déclara-t-il en vidant sa chope. Allez, je resterais, bien encore un moment pour discuter de tout ça avec toi, mais là je suis à sec. Je suis sûr que tu ne m’en voudras pas."
discussion entre l'Orbe et Belgarath fin du tome V
Cette série finie avec brio !!! Vivement que je lise la suite. Il s'agit dans ce tome de vraiment découvrir le dénouement. On laisse a la fin du tome 4 nos personnage dans des situations légèrement ambiguë mais la fin de ce tome nous rassure sur le destin de nos héros.
J'ai une large préférence pour le personnage de Silk : Toujours dans l'humour même si le moment ne s'y prête pas, il est vraiment excellent
Dans l'univers des mondes imaginaires, le couple Eddings est incontournable, avec de nombreux romans ayant marqué une partie importante de la littérature de l'Héroïc-Fantasy. Leur influence sur les futures générations est probablement aussi importante que celle de leurs prédécesseurs. Bien qu'il ait été longtemps présenté comme l'unique auteur de ses histoires, David Eddings a admis en 1995 le rôle essentiel de sa femme dans son processus d'écriture. Cette implication était de toute façon "l'un des secrets les moins bien gardés de la fiction contemporaine".
Ce dernier tome est une conclusion époustouflante à la série épique de David Eddings. Il rassemble habilement les fils de l'intrigue, offrant une résolution satisfaisante aux nombreuses aventures de Garion et de ses compagnons. La profondeur des personnages est remarquable, et leur évolution au fil de l'histoire est captivante. Les paysages variés et les cultures diverses décrites par Eddings enrichissent l'univers de la Belgariade, rendant chaque page immersive.
L'intrigue est palpitante, et le rythme soutenu tient le lecteur en haleine jusqu'à la fin. Les rebondissements sont bien dosés et souvent surprenants, témoignant du talent de conteur de l'auteur. L'aspect magique de l'histoire, avec ses prophéties et ses enchantements, est particulièrement bien développé et ajoute une dimension fascinante à la saga.
Cependant, un petit bémol : la guerre, omniprésente dans ce tome, me semble trop prédominante. Les nombreuses batailles et stratégies militaires, bien que nécessaires à l'évolution de l'histoire, peuvent parfois éclipser les aspects plus personnels et introspectifs des personnages.
En dépit de cette réserve, ce livre reste un incontournable pour les amateurs de fantasy épique. David Eddings a su créer une saga inoubliable qui mérite sa place parmi les classiques du genre.
Une bonne conclusion pour une saga qui possède des airs du Seigneur des Anneaux, sans être tout a fait identique.
Ce tome possède une bonne proportion de combats, de stratégies et de moments plus calmes pour nous préparer au combat final entre Garion et Torak. Combat qui m'a semblé un peu court mais qui a le mérite d'être bien retranscrit.
Le chapitre final nous permet de faire nos adieux à toute la galerie de personnages rencontrés lors de cette folie aventure que fut la Belgariade.
Une chouette série qui possède son propre univers et un humour mordant à souhait.
Et voila fin de partie, non de première partie car la suite arrive vite. Un cinquième tome convenu mais prévisible. Avec Eddings les histoires sont prévisibles pas les dialogues qui eux sont hilarants. Ces livres sont là pour détendre pas pour stresser.
Et voilà le dernier tome de cette sympathique saga. Un tome un peu plus faible que les autres, l'humour est toujours là, mais tout paraît plus convenu. L'histoire louche terriblement sur le Seigneur des Anneaux, une grande bataille à l'issue incertaine, un héros qui se cherche et qui doit mener à son terme sa quête pour sauver tout le monde. Mais bon, les personnages sont attachants même s'ils sont souvent horripilants, Silk et son ironie dévastatrice apportent un peu de fraîcheur et de détente.Bref, une saga où on se plonge avec délectation et que l'on quitte à regrets !
Je dois avouer que ça m'a fait bizarre de refermer le livre. Je m'étais habituée à suivre les personnages, à la voir évoluer et en apprendre plus sur eux-mêmes. Ils vont me manquer.
Je pense que je ne vais pas trop traînée à acheter les 5 tomes de La Mallorée qui, je l'espère, seront au moins aussi bien que ceux de La Belgariade !
En attendant, j'ai beaucoup aimé (encore une fois) ce dernier opus. C'est bourré d'action et de suspense. Je me suis doutée que tout finirai bien mais j'avoue que je m'attendais à ce que certains personnages disparaissent aux cours des combats. Je ne regrette absolument pas de m'être plongée dans cette série de livres et je pense qu'il s'agit d'un référence de l'écriture fantasy au même titre que le Seigneur des Anneaux, par exemple. A lire sans modération !
Et voici enfin le moment tant attendu, le dénouement, l'affrontement final. Ce dernier tome est bon. On y retrouve un aspect classique de la fantasy, par la guerre, tout en développant une vraie description des stratégies militaires, etc... et j'ai beaucoup aimé ces passages. En ce qui concerne l'affrontement final, je dirais que je suis un peu déçue, tout se passe très vite. Par contre rien à dire, les personnages, même les secondaires, sont tous très bien et on rigole beaucoup avec eux. Je recommande vivement cette saga aux adeptes de la fantasy!
Une partie de ce roman est consacré à nos amis Garion, Belgarath et Silk. Moments plus drôles, plus agréables, vu que nous n'avons que trois personnages. Trop court aussi.
De l'autre côté, il y a Polgara et ce'Nedra et une armée à lever, une bataille (même plusieurs) à mener et une victoire à gagner. Non, ils ne peuvent pas perdre.
D'aucuns reprocheront à Eddings de ne jamais sacrifier de personnages, mais moi, ça me plaît ainsi. J'y suis trop attachée, moi. Donc, s'ils ne meurent pas et se sortent de tous les pièges, moi, ça me va !
Petit bémol, vu la profusion de monde autour de Ce'Nedra, ça devient un peu difficile de savoir qui est qui.
Ce cinquième tome ne m'a déçu que dans le fait qu'il clôturait la première partie. Les voir tous repartir m'a fendu le coeur.
La Belgariade se termine avec ce tome 5. Il est d'ailleurs différent des autres. Une grande partie est consacrée à la bataille qui se déroule entre l'armée de Ce'Nedra et celle des Angaraks. La fine équipe composée de Silk, Belgarath et Garion est surtout vue au début et à la fin du roman, mais leur importance n'est pas des moindres dans l'accomplissement des prophéties!
Résumé
Belgarath et Garion - non, Belgarion, Roi de Riva et Seigneur du Ponant - partent affronter le grand méchant dieu borgne dans sa cité maudite de Cthol Mishrak. Sans prévenir Polgara et Ce'Nedra, qui gratifient la Citadelle de Riva de crises de rage particulièrement inventives. Mais une fois ces petits égarements passés, Ce'Nedra accomplira son rôle dans la Prophétie : mener les Armées du Ponant à la guerre, pour gagner du temps à Garion et à son arrière-grand-père...
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