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Après l’assassinat de John Kennedy, tout a changé aux États-Unis. La société est devenue plus violente, la musique plus forte, les drogues plus puissantes que jamais. L’Amérique a compris qu’il n’y avait plus un chef, un leader du pouvoir exécutif, mais une puissance invisible. Et si celle-ci pouvait éliminer leur président en plein jour, c’est qu’elle avait tous les pouvoirs.
C’est dans cette Amérique en crise que Daniel Ford a grandi. Et c’est là, en Caroline du Sud, qu’il a été accusé d’avoir tué Nathan Vernet, son meilleur ami.
Nous sommes maintenant en 1982 et Daniel est dans le couloir de la mort. Quelques heures avant son exécution, un prêtre vient recueillir ses dernières confessions. Bien vite, il apparaît que les choses sont loin d’être aussi simples qu’elles en ont l’air. Et que la politique et l’histoire des sixties ne sont pas qu’une simple toile de fond dans la vie de Daniel, peut-être lui aussi victime de la folie de son temps.
Publié en 2003 outre-Manche, Papillon de nuit est le premier roman de R.J. Ellory. Récit d’un meurtre, d’une passion, d’une folie, il nous offre une histoire aussi agitée que les années soixante.
Si j'avais su ce qui se produirait, je l'aurais abandonné, je l'aurais laissé partir où il voulait aller, et peut-être que j'aurais goûté ma liberté jusqu'à la fin de la guerre. Mais Nathan était plus fort que moi, sa personnalité avait toujours dominé notre relation, et j'avais peur d'être seul. Nathan Verney était le seul homme à savoir d'où je venais, pourquoi je fuyais, et pourquoi je ne souhaitais pas être retrouvé.
J'ai des avis assez clivant sur cette lecture. J'ai eu du mal à rentrer dans le style d'écriture de l'auteur, et au bout d'un moment je commençais à me forger un avis assez négatif sur le livre en me disant que si toute la lecture était comme cela, ça serait long à lire. Et puis je trouve que cela à un peu changer au bout d'un moment et j'ai plus apprécié à partir de ce moment. Le personnage principal m'a touché, il était bien décrit et introduit mais je trouve qu'il est noyé autour de description de scène et d'évènement qui gâche la lecture et c'est ce qui fait que pour moi j'ai pas un avis plus positif sur le livre. En revanche, les dernières pages du livre sont d'une intensité et d'un suspense assez déroutant et qui je trouve est dissocié du reste du livre, je tournai les pages de plus en plus vite pour connaître la suite. Mais la encore j'ai trouvé que la fin gâchais un peu cette intensité et cette tension qu'on a pu ressentir à la fin du livre. Je trouve que la fin du livre coupe dans l'élan de l'intensité et malgré que ça ne se finissait bien, pour une fois j'aurai aimé que non car cela aurai encore plus accentué ce suspense intenable qui m'a beaucoup plus et c'est finalement cela que je retiendrai de plus positif pour cette lecture.
Condamné pour le meurtre de son meilleur ami, Daniel attend la délivrance de la mort au fond d'une cellule dépouillée. Malgré son innocence, il refuse de se battre ; tout s'est arrêté pour lui lorsqu'il a perdu Nathan. À quelques semaines de son exécution, il reçoit la visite d'un prêtre qui parvient enfin à percer sa carapace de silence. Au fil de leurs séances, le prisonnier déroule le fil de sa mémoire et revit pour la dernière fois les événements marquants de son existence. Il ne le sait pas encore, mais de ses confessions dépend sa rédemption...
Véritable ode à l'amitié et à la vie, ce roman propose également une vaste réflexion sur le sens du mot "coupable" par laquelle mes perspectives et opinions ont été chamboulées. Au fil des pages et de l'alternance des chapitres, j'ai appris à connaître et apprécier un personnage principal à double visage : le jeune Daniel, épanoui, heureux et insouciant... puis le Daniel adulte, terrassé par la mort de Nathan et brisé par son séjour en prison. Le milieu carcéral semble d'ailleurs bien décrit et plonge le récit dans une ambiance lugubre renforcée par l'omniprésence de la mort. Enfin, j'ai beaucoup apprécié le contexte historique qui enrobe et accompagne l'intrigue. En revanche, je déplore quelques longueurs (j'ai parfois sauté des passages entiers oups) et répétitions stylistiques assez lourdes, même si j'ai passé un bon moment de lecture riche en émotions.
Mon premier contact avec R. J. Ellory... Quelle claque, quel choc! J'ai rarement autant vécu aussi pleinement la lecture d'un roman. Le suspense est incroyable, le style de narration totalement addictif et les personnages sont si justes qu'on a l'impression de se fondre en eux, particulièrement en Daniel. L'auteur nous fait passer par toute une gamme de sentiments intenses et parfois éprouvants tout en contextualisant l'histoire de Nathan et Daniel à travers trois décennies de l'Histoire des USA. Un vrai coup de maître!
On y suit un condamné blanc, je précise car cela a son importance, dans le couloir de la mort qui attend sa sentence. A l'approche de la date de sa mort, il se remémore les souvenirs de sa rencontre enfant, avec son meilleur ami, jeune afro américain. Et la raison pour laquelle il se retrouve dans le couloir de la mort. On y suit un condamné blanc, je précise car cela a son importance, dans le couloir de la mort qui attend sa sentence. A l'approche de la date de sa mort, il se remémore les souvenirs de sa rencontre enfant, avec son meilleur ami, jeune afro américain. Et la raison pour laquelle il se retrouve dans le couloir de la mort.
Je suis en admiration devant la plume addictive et poétique de l'auteur, et ce malgré l'histoire dramatique racontée, un thriller, je précise au passage.
C'est d'une cellule de prison aux USA qu'un condamné à mort raconte son parcours à un prêtre. A l'âge de six ans, il a fait la connaissance de celui qui deviendra son meilleur ami. le gros problème, pas pour eux mais pour les autres, est que son ami est noir et lui blanc. Dès les premières pages, le lecteur apprend que son pote a été assassiné et décapité et que c'est lui qui a été accusé. Visiblement, c'est le premier roman écrit par Ellroy et déjà sa griffe était présente avec cette façon de nous offrir une histoire bien maîtrisée sous fond d'Amérique raciste. Bluffant, comme d'habitude !
R.J.Elory a une façon bien à lui de construire ses romans, il trouve toujours un moyen d'alterner le récit de l'intrigue à un dialogue ou une introspection du personnage principal. Papillon de nuit n'échappe pas à la règle. La construction nous tient en haleine tout d'abord pour savoir ce qui est arrivé à Nathan puis pour savoir ce qu'il va arriver à Daniel.
Du grand, du beau, du flamboyant Ellory. Ce roman m'a tout bonnement autant enthousiasmé que "Seul le silence", et ce n'est pas peu dire.
Ce polar est juste somptueux, bien amené, bien écrit, la fin, bien que cruelle sous certains aspects, est tout simplement si magnifique que j'en pleurerais encore maintenant et si je suis encore en mode fan club, cet avis est réellement purement objectif.
J'ai beaucoup apprécié dans ce roman le style tout à fait original, sensible, poétique d'Ellory, ainsi que les personnages attachants. C'est l'histoire du long chemin, aux étapes inéluctables et cruelles, de deux enfants, vers l'âge adulte. De l'innocence enfantine qui ressent la magie de la vie et croit que les hommes sont bons, il faut aller de déceptions, en trahisons -dont la moindre n'est pas celle d'une Amérique en folie ! de morts, de pertes, de désespoir pour finalement apprendre trouver la confiance en soi pour vivre dans le monde tel qu'il est. Ce livre m'a touché. Et je l'ai trouvé finalement, malgré les horreurs qu'il raconte, pacifiant. Un excellent moment de lecture.
Résumé
Après l’assassinat de John Kennedy, tout a changé aux États-Unis. La société est devenue plus violente, la musique plus forte, les drogues plus puissantes que jamais. L’Amérique a compris qu’il n’y avait plus un chef, un leader du pouvoir exécutif, mais une puissance invisible. Et si celle-ci pouvait éliminer leur président en plein jour, c’est qu’elle avait tous les pouvoirs.
C’est dans cette Amérique en crise que Daniel Ford a grandi. Et c’est là, en Caroline du Sud, qu’il a été accusé d’avoir tué Nathan Vernet, son meilleur ami.
Nous sommes maintenant en 1982 et Daniel est dans le couloir de la mort. Quelques heures avant son exécution, un prêtre vient recueillir ses dernières confessions. Bien vite, il apparaît que les choses sont loin d’être aussi simples qu’elles en ont l’air. Et que la politique et l’histoire des sixties ne sont pas qu’une simple toile de fond dans la vie de Daniel, peut-être lui aussi victime de la folie de son temps.
Publié en 2003 outre-Manche, Papillon de nuit est le premier roman de R.J. Ellory. Récit d’un meurtre, d’une passion, d’une folie, il nous offre une histoire aussi agitée que les années soixante.
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