La mort est une femme comme les autres

Un roman de style plutôt burlesque, avec quelques accents de surréalisme, qui comporte des côtés bien sympas mais qui verse souvent dans l'hystérie. La fin, trop "happy end" surjoué, m'a laissé un goût de "pas fini" tant elle est puérile et simpliste par rapport au reste du roman.

Dès les premières pages je me suis laissée happer par ce livre, comme un drôle de bonbon qui explose de saveurs en bouche. Une jolie pépite, pleine d'un humour et d'un sarcasme dont mes abdos se souviennent encore !

Un roman plein d'humour qui fait du bien et avec beaucoup d'humanité contrairement à ce que le titre pourrait faire penser, j'ai adoré !

Même s'il était moins touchant que ce à quoi je m'attendais, j'ai bien apprécié ce livre, que j'ai trouvé très drôle et qui soulevait une réflexion intéressante (bien qu'à peine assez poussée)

Un roman sublime, qui traite d'un sujet dur et complexe mais en même temps si beau !

Je me suis attachée à Emm, à sa Faux, au duo dans son ensemble et bien sûr à l'originalité du livre.

Un livre doudou, feel-good, qui fait beaucoup de bien, plein d'humour et de tendresse.

Un peu mitigée par rapport à ce livre... j’ai plutôt bien aimé, mais il est quand même remplit de platitude, les personnages ont eu tendance à m’agacer. Pas un mauvais livre en soi, mais il ne me laissera pas un souvenir génial.

Un petit bijou d'humour et de philosophie sur la place de la mort dans nos vies.

Ce roman est superbe.

Je n'ai pas d'autres mots.

Plein d'humour, de beauté et d'un fantastique mêlé de réalisme qui transporte immédiatement dans l'univers du roman.

Pour Suzie, c'est clair: il ne lui reste plus longtemps à vivre.

Cependant, elle apprend cette nouvelle justement le jour où... les gens ne meurent plus!

Parce qu'Emm est fatiguée. Fatiguée de son boulot, fatiguée de courir partout sans pouvoir s'arrêter un seul instant. Fatiguée d'être toujours seule et ignorée, ou suppliée et maudite.

Bref, elle en a marre.

Alors rend son tablier.

Ou, en l'occurrence, sa Faux. Qui lui en veut beaucoup, soit dit en passant.

Ce roman suit avec légèreté et humour la Mort, dans son cheminement vers le bonheur.

Improbable, n'est-ce pas? Pourtant, ce sujet si lourd est traité avec une douceur qui m'a émue. Si l'on voit notre société capitaliste d'un œil sarcastique et sans fard, on découvre aussi ces bulles de douceur, pleines de petits bonheurs qui en font toute la saveur.

A travers des rencontres improbables, uniques et complètement loufoques, on suit l'histoire de trois personnages. Emm, la Mort avec un M majuscule, accompagnée - la plupart du temps - de sa Faux. Ce duo est drôle, complètement hors du temps, unique en son genre. Suzie, institutrice, frappée par la maladie, si humaine et si attachante, et Antoine, stéréotype du beau brun ténébreux, mais sous la coupe d'une mère maladive.

Un beau trio que rien ne présageait, mais qui se retrouve à naviguer avec beaucoup d'humour dans un monde catastrophe où plus personne ne meurt.

Je précise énormément l'humour, très très présent dans ce livre, car c'est ce qui en fait la qualité. La plume de Marie Pavlenko est juste, presque neutre, alors que ses personnages sont parmi les plus tordus (dans le bon sens!) que j'ai pu rencontrer.

L’œil neuf que pose Emm sur les humains, leurs relations, leurs attentes et leurs émotions est fantastique et novateur. Après tout, comment la Mort nous perçoit-elle?

La fin est juste, touchante et malgré quelques larmes, on ne peut s'empêcher de sourire.

C'est une vraie pépite, une petite merveille de la littérature que je ne pourrais recommander assez. Si vous voyez ce livre, n'hésitez pas une seule seconde. Vous rirez, vous vous questionnerez, et (probablement) vous adorerez!

Un delice dommage qu'il est etait court j'ai adorer !

Emm fait un burn-out et décide de ne plus aller travailler. Rien de plus commun dans notre société à la productivité acharnée... Sauf qu'Emm est la Mort. Et que plus personne ne meurt. Et que du coup, c'est le bordel.

Il y a un côté Pratchett dans le concept (j'ai même relevé une référence dans le texte à un fameux monde porté par quatre éléphants sur une tortue géante qui vogue dans l'espace), mais Marie Pavlenko a une patte bien à elle. Son écriture est fluide à lire, jamais ennuyeuse. Le rythme est enlevé sans jamais paraître précipité et les piques humoristiques souvent bien trouvées.

C'est un roman très court, qui se lit en une poignée d'heures, mais toujours le sourire aux lèvres.

Emm est un personnage truculent à suivre, un mélange du cynisme de ses millénaires avec l'enthousiasme spontané de sa découverte de la vie. Et son sens de la répartie a du tranchant. Les autres personnages sont plutôt attachants eux aussi, surtout Suzie.

Un petit bouquin léger qui fait passer un bon moment malgré des thèmes souvent graves.

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