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Sommes-nous des dieux? Sommes-nous des monstres? Pour le savoir, une fourmi va partir à la découverte de notre monde et connaître milles aventures dans notre civilisation de géants. Parallèlement, un groupe de scientifiques humains va, au fil d'un thriller hallucinant, comprendre la richesse et la magie de la civilisation des fourmis, si proche et pourtant si peu connue. On est comme aspiré par ce roman qui se lit d'une traite.
Sans s'en apercevoir, pris par le suspens et la poésie, on apprend toute sorte d'informations étonnantes et pourtant vraies. Après le succès international de son premier livre, «Les Fourmis», Bernard Werber, jeune écrivain français, s'est imposé comme l'inventeur d'un nouveau style de littérature, à cheval entre la saga d'aventure, le roman fantastique et le conte philosophique. «Le Jour des Fourmis», traduit en 22 langues, couronné du grand prix des lectrices de Elle, a été mis au programme de certaines classes de français, de philosophie et même de... mathématiques. Bien au delà du thème des fourmis, il s'agit là d'un vrai livre initiatique qui nous oblige à réfléchir sur notre place dans l'univers
Cette suite ne m'a pas déçue. Avec Werber, j'en apprends toujours plus sur le monde fascinant des insectes. Les fourmis deviennent de plus en plus attachantes à mes yeux.
Ce livre est fascinant. Le début est un peu long mais le sujet est passionant. K'auteur nous surpends plusieurs fois, et notre vision des fourmis changent à jamais.
D'habitude dans les trilogies, le 2ème tome est décevant, ici ce n'est pas le cas, le rythme est toujours aussi soutenu. L'histoire est dans la continuité du premier tome, on y retrouve les mêmes personnages y compris chez les fourmis auxquelles je me suis encore plus attachée (surtout 103ème). Bien sûr certains passages sont très tirés par les cheveux pour la lectrice pragmatique que je suis, mais c'est plaisant et drôle à imaginer. A moi le 3ème tome !
J’ai commencé la lecture de ce roman dès l’instant où j’ai terminé son prédécesseur (pour rappel : « Les fourmis ») dans la saga du même nom. J’ai cependant été moins enthousiaste lors de ma lecture, même si l’on en découvre toujours plus sur les fourmis et leur fonctionnement. Le début m’a semblé plus long dans la narration et je n’ai vraiment ressenti une difficulté à me détacher du livre qu’à partir de la moitié du roman… Le parallèle entre monde des fourmis et monde des humains est toujours de rigueur, amenant de nouveaux personnages qui trouvent parfaitement leur place dans cette suite. De nouvelles énigmes, de nouveaux passages de l’ « Encyclopédie du savoir relatif et absolu », une fin attendue et inattendue en même temps ; un bon roman dans son ensemble.
Une rencontre originale entre l'homme et la fourmi.
Comment nous perçoit cette dernière avec des critiques réalistes sur l'être humain.
Des passages sur l'encyclopédie du savoir relatif et absolu qui rapporte quelques éléments historiques et scientifiques. Des connaissances parfois intéressantes.
Dans ce deuxième tome, nous suivons pas à pas l'odyssée haletant de 103e, une fourmi partie à la découverte du monde des DoigtsSpoiler(cliquez pour révéler); avec pour objectif de tuer tous les humains de la Terre rien que ça (!). Plus qu'un récit d'aventure, c'est aussi (et surtout) un récit initiatique du parcours de 103e (qui le mènera plus loin qu'aucun ne l'aurait cru) et une sorte de mythe fondateur, l'histoire du premier véritable contact entre les deux peuples.
Ces faits marquent un tournant dans l'histoire, nous sentons que les personnages sont à l'aube d'un nouvel ère.
J'ai trouvé ce tome légèrement en dessous du premier, mais j'ai quand même passé un excellent moment ^^ j'ai particulièrement aimé la fin, Spoiler(cliquez pour révéler)quand 103è devient amie avec les humains, qu'elle apprend pleins de choses d'eux, et inversement, et quand ils la perde dans la ville et qu'il font tout pour la retrouver... j'ai adoré !! ^^
J'avais beaucoup aimé Les fourmis. Et le final de celui-ci me donnait de grands espoirs pour la suite. La déception fut donc énorme...
En soi, ça ne partait pas trop mal. On sait maintenant qu'une machine a été inventé pour dialoguer entre humains et fourmis. Lorsque la reine décide d'arrêt de parler aux "Doigts" (les humains) et d'arrêter de les nourrir, Nicolas tente le tout pour le tout : faire croire à une poignée de fourmis que les humains sont leurs dieux et rend donc une partie de la population fourmis religieuse alors que la reine souhaite mener une croisade contre les humains. Pendant ce temps, une série de meurtre à lieu contre des fabricants d'insecticide et le commissaire Melies enquête...
Ce n'est pas tant l'histoire qui pose probléme que la maniére tant elle est contée. avec 219 parties pour 500 pages, le livre bascule sur différents points de vues constamment, jusqu'à prendre des articles entiers de la (fausse) Encyclopédie sur savoir relatif et absolue.Ce qui apprend certaines choses mais n'a pas toujours d'intérêt par la suite. Auquel cas, ça sent le rajout pour étaler sa science tout comme les nombreuses descriptions du livre. Une science qui ne transparaît pourtant pas dans la partir humaine où les personnages s'expriment d'une maniére parfois aberrante, avec un langage qu'on emploie plus depuis le moyen âge ! ou presque... On peut y ajouter des facilités qui renvoie presque aux aberrations qu'on peut voir au cinéma par manque de temps. Sauf qu'ici, on n'en manque visiblement pas... Les situations s'enchaînent sans logique et tout tombe tout cuit sur l'inspecteur. Ou alors lui et sa coéquipière improvisé ont un bol incroyable.
Bref, l'histoire ne ma jamais paru crédible et l'humanisation extrême des fourmis n'aide pas. Pour quelqu'un qui n'hésite pas à réserver une bonne page à l'anthropomorphisme, c'est exactement ce qu'il fait dans le livre, le justifiant par la machine permettant aux humains de dialoguer avec les fourmis... Ca se lit vite, et bizarrement je me suis tout de même attaché à 103e mais pour le reste... j'en attendais bien plus...
Résumé
Sommes-nous des dieux? Sommes-nous des monstres? Pour le savoir, une fourmi va partir à la découverte de notre monde et connaître milles aventures dans notre civilisation de géants. Parallèlement, un groupe de scientifiques humains va, au fil d'un thriller hallucinant, comprendre la richesse et la magie de la civilisation des fourmis, si proche et pourtant si peu connue. On est comme aspiré par ce roman qui se lit d'une traite.
Sans s'en apercevoir, pris par le suspens et la poésie, on apprend toute sorte d'informations étonnantes et pourtant vraies. Après le succès international de son premier livre, «Les Fourmis», Bernard Werber, jeune écrivain français, s'est imposé comme l'inventeur d'un nouveau style de littérature, à cheval entre la saga d'aventure, le roman fantastique et le conte philosophique. «Le Jour des Fourmis», traduit en 22 langues, couronné du grand prix des lectrices de Elle, a été mis au programme de certaines classes de français, de philosophie et même de... mathématiques. Bien au delà du thème des fourmis, il s'agit là d'un vrai livre initiatique qui nous oblige à réfléchir sur notre place dans l'univers
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