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Au début des années 90, la narratrice est embauchée par Yumimoto, une puissante firme japonaise. Elle va découvrir à ses dépens l'implacable rigueur de l'autorité d'entreprise, en même temps que les codes de conduite, incompréhensibles au profane, qui gouvernent la vie sociale au pays du Soleil levant. D'erreurs en maladresses et en échecs, commence alors pour elle, comme dans un mauvais rêve, la descente inexorable dans les degrés de la hiérarchie, jusqu'au rang de surveillante des toilettes, celui de l'humiliation dernière. Une course absurde vers l'abîme - image de la vie -, où l'humour percutant d'Amélie Nothomb fait mouche à chaque ligne. Entre le rire et l'angoisse, cette satire des nouveaux despotismes aux échos kafkaïens a conquis un immense public et valu à l'auteur d'Hygiène de l'assassin le Grand Prix du roman de l'Académie française en 1999.
il fallait que je lui donne accès au paroxysme de l'extase.
Dans l'ancien protocole nippon, il est stipulé que l'on s'adressera à l'Empereur avec "stupeur et tremblements". J'ai toujours adoré cette formule qui correspond si bien au jeu des acteurs dans les films de samourais, quand ils s'adressent à leur chef, la voix traumatisée par un respect surhumain.
Je pris donc le masque de la stupeur et je commençais à trembler. Je plongeai un regard plein d'effroi dans celui de la jeune femme et je bégayai :
-Croyez-vous que l'on voudra de moi au ramassage des ordures ?
difficile de juger. Avec Nothomb on ne sait jamais sur quel pied danser parfois c'est génial d'autre fois sans intérêt et en ce qui concerne ce livre je trouve que ce n'est pas le meilleur malgré une certaine popularité
Grâce à ce livre, on découvre comment les entreprises japonaises fonctionnent, mais également la discrimination des Occidentaux face au travail! A lire.
Je ne sais pas trop quoi penser de ce livre. C'est ma grand-mère qui me l'a acheté en me disant qu'elle adore les livres d'Amélie Nothomb et qu'elle en a relu certains, dont celui-ci. J'adore découvrir de nouveaux auteurs et normalement nous aimons en général les mêmes auteurs. Connaissant ma passion pour le Japon, je ne pouvais qu'apprécier cette recommandation.
J'ai aimé en apprendre plus sur le domaine professionnel du Japon. Toutefois, je crois qu'il ne faut pas oublier qu'il s'agit de son expérience personnelle et non pas une généralité comme ce roman m'a donné l'impression de raconter. Ce n'est pas tous les Japonais ou toutes les entreprises qui agissent ainsi envers les employés étrangers.
J'ai trouvé l'écriture... particulière. À mes yeux, c'était teinté d'exagération tant dans les descriptions que dans son comportement et d'un brain d'humour... loufoque.
J'ai quand même eu quelques interrogations quand à ses compétences et son comportement...lors de certaines situations, c'était assez évidents qu'elle n'était pas sur la bonne voie..
Je n'ai pas eu de coup de coeur mais j'ai tout de même apprécié ce livre qui se lit très rapidement (en 2h c'est fait franchement). Je n'avais pas envie de m'arrêter dans ma lecture car même si certains évènement font bondir, j'avais envie de connaître la suite. L'écriture est agréable et j'aime bien les traits d'humour et d'ironie de l'auteur. J'essaierai de lire d'autres romans de cette auteure à l'occasion.
D’un inintéret total, il ne se passe casiment rien de tout le livre, qui contient de nombreuses affirmations totalement fausses (non, le Japon n’est pas le pays avec le plus grand taux de suicide !!)
✨ Dans les années 1990 Amélie Notomb débute dans l'une des plus grandes entreprises japonaises en tant qu'interprète.
Travaillant face à sa supérieure hiérarchique mademoiselle Mori, Amélie-san est subjuguée par cette femme qui a su grimper tous les échelons par des années de sacrifice.
Pensant en faire une alliée, Amélie apprend à ses dépends les codes hiérarchiques japonais bien différents de ceux des occidentaux et se voit rétrogradée au fur et à mesure de ses erreurs de comportements .
Mais Amélie fera tout pour éviter le pire pour éviter la sentence ultime,l'humiliation.
✨ Après avoir lu ni d'Ève ni d'Adan je découvre la vie sur un aspect bien différent car après avoir appris sur les codes de séduction japonais ici il est question des codes hiérarchiques.
Même si la narratrice est très bien intégrée à ce pays qu'elle considère comme le sien puisqu'elle y vit depuis sa plus tendre enfance et en parle très bien la langue se trouve totalement perdue dans cette entreprise .
En effet,elle ne connait pas les codes de cette hiérarchie souveraine qui n'a de place que pour les traditions japonaises.
Dans ce récit nous comprenons vite qu'il est bien difficile pour une femme d'avoir un poste à responsabilités et que les sacrifices seront à la hauteur de ce poste.
Malgré tout il en est de même pour tous les employés qui ne sont aucunement considérés par leur direction.
Les hommes et les femmes ne sont que des pions, l'homme perd toute son humanité,seul compte le travail effectué.
L'individualisme la passivité et le respect ultime de son supérieur hiérarchique sont les codes nippons.
Je note le changement de vocabulaire de l'auteure selon la prise de position occidentale ou orientale,ce qui accentue la situation dégradante du personnel ou le pouvoir de la direction.
Ce récit me permet de mieux cerner ou pas d'ailleurs cette femme au caractère bien particulier, cette femme qui subira humiliation sur humiliation et qui malgré cela fera tout pour se faire accepter,en vain.
L'auteure a le don de transformer l'horreur en burlesque me voilà encore subjuguée par elle.
Une lecture mitigée. C'était mon premier livre d'Amélie Nothomb, et on m'avait prévenu de son style assez... Particulier. Il n'empêche que je n'ai pas vraiment accroché. Je n'ai pas compris la démarche de l'autrice ni là où elle voulait en venir, la leçon qu'elle voulait nous passer à travers son roman (s'il y en a une). Pour moi, j'avais simplement sous les yeux une histoire somme toute assez banale, qui ne m'a pas transportée.
premier livre que j'ai lu d'amélie nothomb et que je conseille assez souvent, je comprends mieux le tempérament et la façon de vivre des Japonais qui restent un peuple à part....
Merci Amélie de nous faire découvrir votre univers
« Aux yeux d’un Occidental, ce n’eût rien eu d’infamant ; aux yeux d’un Japonais, c’eût été perdre la face. »
➡️ Le Japon est souvent idéalisé mais il est complexe pour un étranger de s’y intégrer, d’autant plus dans le monde du travail, ce livre le montre bien. On sent pourtant l’amour de l’autrice pour le Japon mais elle reste lucide sur ce qui peut s’y passer.
➡️ On a parfois l’impression que c’est caricatural mais en même temps réaliste.
J’y ai beaucoup appris sur le monde de l’entreprise… et pas seulement les mauvais côtés.
« Donc, dans la compagnie Yumimoto, j’étais aux ordres de tout le monde. »
➡️ L’humour est omniprésent, c’est parfois décalé, il ne faut pas prendre tout au premier degré et garder une certaine distance, tout comme Amélie elle-même le fait.
➡️ Le style reste particulier et le faible nombre de pages y est adapté, il n’en aurait pas fallu plus. C’est une expérience de lecture qui personnellement m’a convaincue, je tenterai d’autres de ses livres.
Excellent livre de Nothomb sur un sujet qui demeure à jamais d'actualité: l'intégration sociale dans le monde professionnel et comment celle-ci peut engloutir toute votre vie et identité pour peu que vous n'y fassiez pas gare.
Lecture cathartique pour toute personne souffrant d'un bourn-out ou d'un environnement de travail toxique.
Résumé
Au début des années 90, la narratrice est embauchée par Yumimoto, une puissante firme japonaise. Elle va découvrir à ses dépens l'implacable rigueur de l'autorité d'entreprise, en même temps que les codes de conduite, incompréhensibles au profane, qui gouvernent la vie sociale au pays du Soleil levant. D'erreurs en maladresses et en échecs, commence alors pour elle, comme dans un mauvais rêve, la descente inexorable dans les degrés de la hiérarchie, jusqu'au rang de surveillante des toilettes, celui de l'humiliation dernière. Une course absurde vers l'abîme - image de la vie -, où l'humour percutant d'Amélie Nothomb fait mouche à chaque ligne. Entre le rire et l'angoisse, cette satire des nouveaux despotismes aux échos kafkaïens a conquis un immense public et valu à l'auteur d'Hygiène de l'assassin le Grand Prix du roman de l'Académie française en 1999.
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