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Robert Kemble, lord Macclesfield, n'a jamais été de nature fantasque, mais dès l'instant où il aperçoit Victoria Lyndon près du lac, il en tombe amoureux. Baisers, serments... Les deux amoureux rêvent de mariage, mais ils se heurtent très vite aux préjugés de leurs parents : un comte n'épouse pas une simple fille de pasteur. Ils décident donc de s'enfuir. Victoria ne viendra jamais au rendez-vous. Anéanti, Robert part pour Londres. Sept ans plus tard, il retrouve la jeune femme. Si son désir se rallume aussitôt qu'il la voit, sa rancoeur est encore plus vive. Victoria paiera pour l'avoir abandonné. Afin de la tenir à sa merci, il est prêt à lui offrir la lune...
— C'est une journée parfaite pour se marier, déclara-t-il d'un ton satisfait.
Elle avait dû mal entendre.
— Je vous demande pardon ?
— Se marier. Devenir mari et femme.
— Vous et moi ?
— Non, répondit-il avec flegme. Je parlais du couple de hérissons du jardin qui vit dans le péché depuis des années. C'est inqualifiable. Il est urgent de les unir par les liens sacrés du mariage.
— Robert ! protesta-t-elle dans un fou rire.
— Et pensez à tous ces petits hérissons illégitimes ! Quelle vie auront-ils ? D'autant que leurs parents se sont reproduits comme des lapins. Enfin, comme des hérissons.
J'ai bien aimé cette romance qui commence sur un énorme cliché qu'est le coup de foudre (bon l'auteur nous prévient avant, mais c'est très rapide).
Le quiproquo de départ est pas mal fait mais aussi très cliché.
J'ai bien aimé et je me suis laissée porter par cette romance bien que les personnages restent trop enfermé dans leur colère et que la reconquête du coeur de Victoria est du harcèlement...
Pour ma part j'ai adoré ma lecture, les personnages et situations dans lesquelles ils se retrouvent.
On démarre tout de suite l'histoire avec un coup de foudre, on ne perd pas de temps, on rentre dans le vif du sujet. Cela donne tout de suite un bon rythme au roman : le coup de foudre, l'interdiction des pères, la personnalité de Victoria, le côté protecteur et chevaleresque de Robert.
Le style de JQ est fluide, le rythme entrainant, addictif. Les joutes verbales, les chamailleries entre nos deux héros excellentes.
Le quiproquo de départ des deux côtés monte en puissante. Chacun campe sur ses positions, en ne comprenant rien aux griefs de l'autre. On a la version des deux personnages, du coup j'étais des deux côtés en me demandant qui allait céder le premier.
J'ai adoré les rebondissements, retrouvailles, chamailleries qui pimente les dialogues.
Le seul bémol : quelques longueurs dans le dernier tiers, un peu trop d'hésitation de la part de Victoria, on tourne un peu en rond. Mais j'ai trouvé la fin très juste, tout est réglé.
Même si ce n'est pas le meilleur de JQ, c'était un très bon moment de lecture.
Ce n'est pas le meilleur livre de Julia Quinn que j'ai lu... Robert s'est comporté de manière horrible et il dit qu'il avait ses raisons, mais si les deux personnages seraient assis et parler. L'histoire aurait duré 50 pages....
Malgré mes points négatifs, c'est une lecture facile et relaxante.
C'est toujours un pur plaisir que de retrouver l'univers de Julia Quinn. Après les Bridgerton et les Rokesby, nous voici avec les sœurs Lyndon. On débute l'histoire sans perdre de temps. Dès la première page, c'est déjà le coup de foudre. Un amour d'été digne des grands contes de fée avec, toutefois, une fin brutal pour ces jeunes. 7 ans plus tard, ce sont les retrouvailles et quelques semaines plus tard, c'est la vérité qui éclate. Est-ce que l'amour peut résister à ses obstacles? OUI! Robert Kemble (que je trouve un peu trop possessif par moment) est tombé éperdument amoureux de sa Torie avant qu'elle le trahisse (ou pas). Maintenant, il veut se venger. La faire autant souffrir que lui l'a été, mais la vérité viendra le sauver. Victoria Lyndon est tombée éperdument amoureux de son Robert avant qu'il la trahisse (ou pas). Le cœur brisé, elle tente de survivre. Le revoir ne fît qu'empirer sa douleur. Même en sachant la vérité, elle se refuse à lui pour ne pas souffrir à nouveau. Robert tente, par tous les moyens, de la reconquérir et Victoria, de lui dire non. Je comprend les agissements de Victoria. Même si elle sait qu'elle l'aime toujours, retomber dans ses bras pourrait la mener à sa perte si elle devait, à nouveau, le perdre. Robert écoute son cœur et Torie écoute sa tête. Mais l'amour finit toujours par l'emporter. Et avez-vous remarqué la ressemblance avec l'histoire de Benedict et Sophie (Bridgerton tome 3)? Moi si et j'ai adoré!
- Je vous offrirai tout et la lune, dit-il avec ferveur. Et il scella cette promesse par un baiser. - Le jeune Robert
Angleterre, début du XIXe siècle : Robert et Victoria ont le coup de foudre (j’ai eu le sentiment que c’était plus vrai du côté de Robert que de Victoria). Mais Robert est comte, et fils de marquis, tandis que Victoria est fille de pasteur. Quand ils découvrent la situation, les deux pères s’opposent à leurs enfants : celui de Robert souhaite un meilleur parti pour son fils, et celui de Victoria est convaincu que le jeune homme veut seulement séduire sa fille puis l’abandonner, tant un mariage lui semble impossible à cause des différences de classe sociale. Le père de Robert menace de le déshériter s’il passe à l’acte : il aurait le titre, inaliénable, et un vieux château, mais pas les biens qui rapportent réellement.
Se moquant de son héritage, Robert propose à Victoria de s’enfuir avec lui, ce qu’elle accepte. Mais le père de la jeune fille s’en rend compte, et l’empêche de partir, pensant lui éviter le déshonneur. Robert se persuade qu’elle l’a laissé tomber puisqu’avec elle il serait déshérité.
Sept ans plus tard, ils se rencontrent par hasard. Robert est devenu amer et cynique avec les femmes. Quant à Victoria, elle s’est enfuie de chez son père — finalement — et est gouvernante, métier qu’elle déteste car elle est soumise à de riches familles qui ont tous les droits sur elle, ou presque. Elle aussi est amère, car elle en est venue à croire que Robert s’était joué de sa naïveté.
Ces deux-là se haïssent. Mais tandis que Victoria veut seulement oublier son passé et son rêve fugace de bonheur qu’elle a caressé sept ans auparavant, Robert décide de se venger, en lui faisant croire qu’il l’aime toujours uniquement pour la mettre dans son lit, sans qu’il ne soit plus question de mariage.
Vient alors tout un passage où Robert impose sa présence à Victoria, et la harcèle. Ça m’a un peu mise mal à l’aise. Ce roman a vingt-cinq ans, et aujourd’hui plus aucune auteure de romance historique n’osera décrire ce type de comportement de la part du héros masculin.
Heureusement, ça ne dure pas très longtemps, et très vite Robert adopte un comportement plus convenable. Il faudra à nos deux héros du temps pour se rendre compte qu’ils s’aiment toujours (ce n’est pas un divulgâchage, hein, on est dans la romance historique).
Tous deux ont changé et ont mûri, et la deuxième partie de l’histoire, avec quelques scènes très drôles, d’autres plus tendres, offre un moment agréable de lecture.
Comme dans d’autres romans de l’auteure, la plume est particulièrement délectable, et les dialogues ne manquent pas de répartie. Un vrai plaisir à lire !
Jolie romance qui se lit facilement et rapidement. Victoria est un personnage un poil fantasque et décidé qui amène du piquant dans l'histoire et oblige le héro à se remettre en question.
Romance des années 90 qui est devenue désuète : les héros sont attendrissants mais ils débordent de sentiments à l’ancienne (dévouement, protection, sacrifice, pas de consentement…).
Premier tiers plein de fraîcheur et de charme poignant, mais les deux tiers restants quand le héros poursuit l’héroïne de ses assiduités sont d’un pseudo humour et d’un verbiage peu passionnants.
Résumé
Robert Kemble, lord Macclesfield, n'a jamais été de nature fantasque, mais dès l'instant où il aperçoit Victoria Lyndon près du lac, il en tombe amoureux. Baisers, serments... Les deux amoureux rêvent de mariage, mais ils se heurtent très vite aux préjugés de leurs parents : un comte n'épouse pas une simple fille de pasteur. Ils décident donc de s'enfuir. Victoria ne viendra jamais au rendez-vous. Anéanti, Robert part pour Londres. Sept ans plus tard, il retrouve la jeune femme. Si son désir se rallume aussitôt qu'il la voit, sa rancoeur est encore plus vive. Victoria paiera pour l'avoir abandonné. Afin de la tenir à sa merci, il est prêt à lui offrir la lune...
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