Les Duchesses, Tome 10 : Sept minutes au paradis

Eloisa James nous offre un dernier tome qui sort des sentiers battus. Loin des clichés du genre, ce roman explore des thèmes complexes tels que la famille, la légitimité, l'amour et la quête de soi.

Ward Reeve, le héros de l'histoire, est un personnage complexe et attachant. Son intelligence, son sens de l'humour et son dévouement envers ses demi-frères en font un personnage charismatique. Cependant, son passé trouble et sa peur de l'engagement le rendent vulnérable et parfois impulsif. L'auteure réussit à nous faire ressentir de l'empathie pour ce personnage, malgré ses défauts.

Eugenia, la gouvernante, est une femme forte et indépendante qui ne se laisse pas impressionner par les conventions sociales. Son intelligence, son sens des affaires et son dévouement envers les enfants en font un personnage inspirant. Elle est bien plus qu'une simple gouvernante, elle est une femme de caractère qui sait ce qu'elle veut.

La relation entre Ward et Eugenia est au cœur de l'intrigue. Leur attirance mutuelle est indéniable, mais leur passé et leurs différences les empêchent de se rapprocher facilement. L'auteure explore avec finesse les nuances de leurs sentiments, les faisant passer par des moments de passion, de doute et de colère. Cette relation est loin d'être parfaite, mais elle est d'autant plus réaliste et touchante.

L'intrigue est riche en rebondissements et en surprises. Les secrets de famille, les jeux de pouvoir et les rivalités sociales viennent s'ajouter à la tension amoureuse, créant une histoire palpitante. L'auteure jongle avec habileté entre les différents fils narratifs, nous tenant en haleine jusqu'à la dernière page.

Eloisa James nous transporte dans l'Angleterre de la Régence avec une grande justesse. Les descriptions des lieux, des costumes et des coutumes de l'époque sont soignées, nous offrant un tableau vivant de la société de l'époque. L'auteure nous immerge complètement dans son univers, nous permettant de ressentir l'atmosphère de l'époque.

Les personnages secondaires, tels que Lizzie et Otis, les demi-frères de Ward, apportent une touche d'humour et d'originalité à l'histoire. Ils sont attachants et insolites, et contribuent à créer une ambiance légère et détendue.

Au-delà de l'histoire d'amour, ce roman pose des questions intéressantes sur la famille, l'héritage et la construction de soi. Les personnages principaux sont tous marqués par leur passé et cherchent à trouver leur place dans la société. L'auteure nous invite à réfléchir sur les liens familiaux, l'importance de l'identité et la quête du bonheur.

Eloisa James possède un talent indéniable pour la narration. Son style est fluide et élégant, nous emportant dans l'histoire dès les premières pages. Les dialogues sont percutants et les descriptions sont riches en détails.

Je laisse ici mon deuxième commentaire et effectivement après avoir lue les remerciements Eloisa James a bien ressuscité la mère grand. Je trouve ça nul en partant du principe que si tu écris une longue saga chaque détail à son importance et a rendu des cas bien particulier bien expliqué.

Ravie de retrouver tout les personnages du début sauf Poppy et son mari.

Pour la romance, rien de sensationnelle. J’ai plus été agacé par les personnages qu’un autre chose. Reeve n’est pas du tout réfléchi limite ce qui sort de la bouche d’Eugenia n’est pas pris en compte. Il est dit au milieu du roman qu’elle est la fille Strange quand même. Lui qui est censé tous les connaître depuis l’enfance plus ou moins, il est vraiment ignorant.

Je n’ai pas encore terminé le roman, je dois en être à la moitié, mais ce qui me gêne jusque là c’est surtout : la duchesse, à savoir la grand-mère, n’est elle pas censée être morte ?

En effet je viens de finir l’épisode de la première confrontation entre celle ci et Ward, et même si j’ai imaginé que ce soit peu être la belle mère de Lisette, c’est bien sa véritable mère (ressuscitée?) dont il est question. Soulagée moi si je me trompe, mais cette erreur basique jette un peu un froid sur ma lecture.

Ayant lu le tome sur le Duc de Villiers je me souviens bien que la figure maternelle qui fait office de chaperon de Lisette dans ce tome est sa tante. Il est répété à plusieurs reprises qu’elle est bien décédée.

Nous retrouvons ici Teddy (Ward), fils batard du Comte de Gryffin (dans la Débutante) et la délicate Eugenia (dans Lady Harriet). Ce tome ne fait pas vraiment partie de la série des Duchesses mais comme nous y retrouvons les enfants de certains protagonistes des tomes précédents ainsi que les protagonistes eux-mêmes lors d'un bal.

J'ai trouvé cette série agréable avec des hauts et des bas. Dans les 6 premiers tomes, on nous parle beaucoup du Duc de Villers, de la Duchesse de Beaumont ainsi que des échecs. Si un tome a été dédié au fils ainé batard du Duc de Villers (Trois semaines avec Lady X), pas un mot pour ses autres enfants. Une petite info à leur sujet m'aurait été agréable.

Bonne série.

Une romance franche et douce. Tout simplement charmante. Une belle histoire d'amour. Une série que je n'ai pas pu le lâcher tant qu'elle n'était pas terminée.

Une romance douce, tendre, avec une touche de sensualité et d’aventures. Une collection que j’adore « Aventures et Passions », et comme son nom l’indique, il y a pleins d’aventures et de passions. Chacun de ses romans peut être entraînant, doux, érotique, attendrissant. Ils vont feront passer de délicieux moments.

Des personnages avec des caractères puissants, déstabilisants. Attachant. Cette histoire est d’un immense romantisme et pleine de rebondissements. Délicieuse. Chaleureuse. Un entre-deux parfait.

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J'ai adoré ce roman, comle toute la serie, les duchesses sont des femmes exceptionnel

On retrouve ici le fils du comte Gryffin, Teddy alias Ward et la fille de Strange, Eugenia. Au départ j'étais très contente de revoir le mignon bambin du premier tome surtout associé avec la jeune érudite du troisième. Mais il devient au fur et à mesure du tome un homme arrogant. Il m'a déçue. Alors qu'elle, du début à la fin, reste fair play, et élégante. Sincèrement, je n'aurais pas supporté qu'un homme me parle sur ce ton, je l'aurais supprimé de ma vie.

Une très bonne histoire, étrangement ma partie préféré du livre c'est le début quand les personnages se rencontrent, s'affrontent et s'échangent des lettres pour échanger sur les problèmes causer par les enfants (qui sont très inventif pour faire des bêtises et faire fuir leur gouvernantes) et pour flirter. J'ai trouvé la liaison qui s'en suit est bien moins intéressante. Mais j'ai bien aimé la dernière partie avec la séparation et la réconciliation. Les personnages sont attachant surtout les deux orphelins, pupilles du héros.

Je ne serais vraiment dire pourquoi, mais ce livre bien que j’avais envie de le lire me faisait peur, j’ai eu du mal à me lancer, et je dois dire que rapidement mes angoisses face à cette lecture se sont envolées. Ce fut une très bonne lecture, j’ai été surprise par son contenu, j’ai vraiment aimé ce que j’ai pu y trouver, à l’opposé de ce à quoi je m’attendais et ce que j’avais pu imaginer.

Eugenia est une femme qui se moque bien de ce que les gens disent d’elle, c’est une femme qui malgré son statut dans la société a su garder un grand cœur. A la mort prématuré de son époux, elle a décidé d’ouvrir une agence de placements malgré les réprimandes dues à son nom, elle est indépendante et compte bien le rester. Tout le pays vient dans son établissement pour y trouver les meilleures gouvernantes, elle a une bonne réputation et s’évertue à ce que tout se déroule sans embuche, c’est une travailleuse qui se tue à la tâche et qui fait son possible pour satisfaire ses clients au point de s’être elle-même oublier. C’est ainsi que sa route va croiser celle d’Edward Braxton Reeve qui depuis peu, a la charge de sa jeune sœur et de son frère encore plus jeune. Deux enfants aux habitudes surprenantes qui ont fait fuir les gouvernantes les plus endurcies. Cet homme séduisant va venir lui demander de l’aide, car il pourrait bien les perdre, s’ils n’arrivent pas à tirer une éducation de qualité et un sens du savoir-vivre, étant en pleine bataille afin de garder la garde de ses deux nouveaux pensionnaires. Mais la réputation de celui-ci du à son statut d’enfant illégitime bien que fortuné, n’aidera pas dans ses démarches. C’est pour cela qu’il a besoin d’Eugenia, et qu’il va tout mettre en œuvre pour la faire venir auprès de lui afin qu’elle lui prodigue les bonnes bases afin de bien élever ces enfants.

Entre eux, on sent dès le départ une attirance qui n’aura de cesse de grandir au fil des pages, un relation basée sur le désir mais aussi la confiance, car ils savent que rien de plus ne pourra naitre de cette idylle. Ils vont beaucoup se donner l’un à l’autre et partager des moments de grande tendresse, chacun apportant à l’autre courage et réconfort, s’aidant à effacer les douleurs qu’ils ont vécu par le passé. Ils vont profiter du temps qu’ils auront ensemble, se donner entièrement tout en gardant une certaine retenue due aux conditions dans lesquelles ils se trouvent. Ils vont beaucoup s’apporter et bien rapidement les sentiments vont venir se mêler à cette romance qui pourtant ne devait être qu’éphémère, venant parfois envenimer les choses.

7 minutes au paradis est un livre qui aura su me séduire tout au long de ma lecture, j’ai vraiment adoré. Eugenia a du caractère, elle se moque des quand dira-t-on, ayant grandi dans une famille très ouverte pour leur époque, ce qui a fait de cette femme un être fort et compréhensif, déterminé et qui ne juge pas une personne à son statut dans la société. L’arrivée inattendue de sa sœur et de son frère a fait murir Edward qui a malgré tout, gardé son côté séducteur, il est protecteur et de bons conseils. Il a grâce à ses inventions réussi à faire fortune sans avoir utilisé le nom de son père, malgré sa réputation c’est un homme admirable et plein de charme ouvert et intelligent. Eugenia sera très présente pour les enfants, leurs donnant de son temps mais aussi de son amour, les sortant parfois de situations qui pourraient leur porter préjudice grâce à sa compatissance mais aussi son savoir-faire auprès de ceux qui les jugeront mal.

C’est une romance historique très moderne, très agréable à lire et à imaginer. Une lecture surprenante, touchante et imprévisible. Les scènes sont bien représentées, je m’attendais à lire quelque chose de trop guindée et c’est vraiment très loin de l’être. C’est très divertissant et plein de moments de douceur et de tendresse, d’appréhension mais aussi de doute. Il va se passer beaucoup de choses, certains évènements m’ont touchée et c’est avec une légère angoisse face à certains comportents d’Edward qui fait fausse route à cause d’un quiproquo que j’avançais dans ma lecture.

L’humour y a une grande place, c’est vivant et absolument pas ennuyeux je n’ai pas trouvé de longueurs, ni de gros clichés. Il y a une part d’érotisme mais apportée de façon très sensuelle, les scènes sont bien décrites et très réalistes, rien de trop violent, ni choquant, elles ne sont pas non plus trop présentes, elles arrivent au bon moment et de manière agréable a découvrir.

C’est un très bon livre, qui m’aura fait passer un très bon moment de lecture.

http://www.livresavie.com/les-duchesses-10-sept-minutes-au-paradis-de-eloisa-james/

Addictif ! Lorsque l'on commence on ne peut plus s'arrêter ...

Premier tome de cette saga que je lis et qui donne envie.

Mme Snowe, jeune veuve de l'aristocratie, a choisi de braver les conventions et faire du commerce.

Elle gère une agence de placement de gouvernantes. Monsieur Reeves vient d'hériter de frere et soeur ... Ils devaient donc se rencontrer.

Entre quiproquos et recrutement on ne s'ennuie jamais. A dévorer.