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Créateur du héros-culte Jimmy Gold, John Rothstein n’a rien publié depuis des années, ce qui déplait à Morris Bellamy : le fan assassine le vieux romancier, vidant son coffre-fort de ses économies et d’un trésor autrement plus précieux, ses carnets de notes. Malheureux sort, son butin enfoui, Morris est arrêté par la police, condamné à perpétuité pour un autre crime.
Trente ans plus tard, Peter Saubers (un jeune garçon dont le père, blessé par Mr. Mercedes, n’a jamais retrouvé de travail) découvre par hasard la cachette de Morris. L’argent dépensé, il songe à vendre les manuscrits dont il a compris la valeur. Ivre de rage, et plus violent que jamais, Bellamy, libéré, est bien décidé à savoir qui a pillé sa cachette…
Reprenant ses thèmes chers, abordés dès Misery, Stephen King rend un hommage au pouvoir de la fiction, pour le meilleur et pour le pire.
Tout ce dont il pouvait être sur, c'était que quelque chose avait horriblement mal tourné. Quand tu te réveilles en combinaison orange, c'est une déduction facile à faire.
Ce que j'aime bien avec les romans de Stephen KING c'est la mise en place de l'histoire, le temps qu'il prends pour décrire la situation, des personnages et leur psychologie.
Cela permet de se plonger encore plus dans le contexte.
J'ai apprécié le lien entre le premier et ce second livre ! Toujours un certain suspens concernant Mr MERCEDES...
J'aime bien l'alternance des chapitres entre deux époques différentes avec les différents protagonistes. Les personnalités sont vraiment bien travaillé. Le côté fantastique de Morris avec attachement pour le livre de Jimmy GOLD. Ça fait un peu penser à Misery même si c'est pas du tout la même histoire. Pete a vraiment un bon coeur mais au final cela va se retourner contre lui et les événements vont s'accélérer et finir par le dépasser.
Les 150 dernières pages sont hyper addictives. Les pages défilent sans que j'arrive à fermer le livre. On se demande comment va se terminer cette courses poursuites.
Je trouve le titre vraiment bien choisis avec le déroulement de l'histoire.
La fin donne envie de vite lire la suite afin de faire un point finale de cette histoire !
Une fois de plus, Stephen King m'absorbe complètement dans son histoire, au point que j'ai du mal à en décrocher. J'ai été absolument ravie de retrouver les personnages de Mr mercedes, et d'en découvrir de nouveaux, aussi attachants. Une histoire bien construite dans laquelle on retrouve la patte du King, un vrai plaisir !
Ce deuxième tome est un peu particulier puisqu'il se déroule en parallèle des événements du premier tome tout en introduisant le prochain tome.
Ce deuxième tome traite de la fan attitude et de jusqu'où peut-on aller quand on est groupie.
Bien que le sujet soit intéressant j'ai eu beaucoup plus de mal à la lecture qui m'a parue plus longue et fastidieuse sauf les 150 dernières pages où là tout s'accélère et que l'on voit enfin arriver de l'action.
Les deux tiers sont sur le mental des personnages et ça on ne peut que reconnaître le talent de l'auteur pour nous captiver et nous faire croire à la présence des protagonistes à nos cotés, tant le style et les caractéristiques sont captivantes.
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Notons également le dernier chapitre qui nous ouvre les portes du tome 3 qui s'annonce prometteur.
Histoire prenante du début à la fin comme "Monsieur Mercedes". Intrigue, suspense et la joie de retrouver les personnages auxquels on s'attache sont au rendez-vous. Je me plonge directement dans "fin de ronde" afin de terminer cette trilogie.
Un peu de mal à rentrer dans le livre . Mais dès la deuxième partie j'ai replongé dedans grâce au retour de Bill Hodges. Nous entrons enfin dans l'histoire.
Étant souvent déçue par les publications récentes de Stephen King et particulièrement de ses thrillers, j'ai entamé ce livre avec une certaine appréhension... qui a bien vite disparu.
Je me suis immédiatement plongée dans le récit. J'ai adoré la première partie, avec cette alternance entre deux époques, deux garçons dont les personnalités sont aux antipodes mais qui se révèlent pourtant très similaires lorsqu'il est question de Jimmy Gold. On a beau déjà savoir ce qu'il s'est passé 30 ans plus tôt, cela n'enlève rien à la tension et l'intérêt des chapitres qui se déroulent en 1978. C'est même le contraire : tout au long du roman, le lecteur détient des informations ignorées de l'un ou l'autre des personnages principaux. Ainsi, toute la tension réside dans l'attente de ce qu'il va se passer, de la réaction des personnages lorsqu'il découvriront à leur tour ce que le lecteur sait déjà.
Cela disparaît malheureusement dans la troisième partie, qui m'a moins plu car il n'y a plus de secret, l'histoire se focalise sur l'affrontement attendu depuis le début. Mon intérêt est un peu retombé car j'ai eu l'impression de lire un thriller classique, où l'auteur tente de faire du suspense mais sans y parvenir : on se doute très facilement de ce qu'il va se passer puisque sinon il n'y aurait pas de grand final... Même si j'aime beaucoup Holly et que j'étais contente de la retrouver, cette dernière partie m'a tout de même déçue par rapport au reste du roman qui était jusque-là sans faute.
J'ai préféré ce roman à Mr Mercedes et la fin m'a donné envie de lire Fin de Ronde. Cependant, il n'est pas à la hauteur de Misery, dont j'ai apprécié les quelques références, même si du coup ça gâche un peu la surprise pour un élément du final. Mais nul doute que le thème de l'écriture sied parfaitement à l'auteur : sa passion pour la littérature anglophone se ressent pleinement et il parvient sans mal à la partager. J'ai apprécié le parallèle Morrie/Pete/Jimmy qui se développe jusqu'à la fin du roman, ainsi que toute la réflexion autour du pouvoir de la fiction sur le réel. J'aurais aimé davantage de jeux autour des extraits du Coureur.
Pour conclure : "cette connerie, c'est pas que des conneries".
Résumé
Créateur du héros-culte Jimmy Gold, John Rothstein n’a rien publié depuis des années, ce qui déplait à Morris Bellamy : le fan assassine le vieux romancier, vidant son coffre-fort de ses économies et d’un trésor autrement plus précieux, ses carnets de notes. Malheureux sort, son butin enfoui, Morris est arrêté par la police, condamné à perpétuité pour un autre crime.
Trente ans plus tard, Peter Saubers (un jeune garçon dont le père, blessé par Mr. Mercedes, n’a jamais retrouvé de travail) découvre par hasard la cachette de Morris. L’argent dépensé, il songe à vendre les manuscrits dont il a compris la valeur. Ivre de rage, et plus violent que jamais, Bellamy, libéré, est bien décidé à savoir qui a pillé sa cachette…
Reprenant ses thèmes chers, abordés dès Misery, Stephen King rend un hommage au pouvoir de la fiction, pour le meilleur et pour le pire.
(Source : Albin Michel)
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