Prédateurs

Un très bon thriller !

J'étais plongé dans l'histoire dès le début, il me tardait de découvrir l'identité du tueur et aussi le pourquoi.

L'intrigue se déroule pendant un conflit que l'écrivain Maxime Chattam ne nomme même pas, un conflit sans appellation. Craig Frewin, officier de la Police Militaire, mène une enquête sur un homicide d'une telle violence que seul un psychopathe, un prédateur d'une cruelty rare, pourrait en être l'auteur. Avec l'aide de son équipe et d'Ann Dawson, une infirmière dont les compétences scientifiques sont précieuses, l'officier affine son profilage grâce à sa théorie du « langage du sang » tandis que les meurtres se multiplient.

Livre lu en 2011. Dans mon souvenir ce n'est pas le meilleur livre de Maxime Chattam. Ma note estimée en fonction de mes souvenirs: 12/20.

Livre assez sombre, jusqu'au bout on s'attend à multiple retournements

Je n'ai pas beaucoup aimé mais je pense que cela vient de moi et non de l'écriture. Je déteste tout ce qui se rapporte à la guerre, donc je me suis forcée à finir le livre avec difficulté

Le lieutenant Frewin, de la police militaire est appelé à bord du Seagull, bâtiment de guerre se préparant au débarquement, pour élucider un crime sordide. L’infirmière Ann Dawson l’y rejoint, étrangement captivée par cet événement… L’équipe sera confrontée à une série de crimes, tous plus sordides et violents les uns que les autres… et tous à proximité de la compagnie Raven… qui est le meurtrier ? Un soldat… une femme…?

Livre très addictif, manquant d’un peu de suspens…

D'abord surprise par la toile de fond de ce tome très différente du précèdent , j'ai finie par me laisser embarquer dans l'histoire et dans la recherche de l'auteur de ces meurtres atroces, recherche qui c'est révélée ardue tant Chattam essaye d'embrouiller le lecteur par tous les moyens, parfois de façons un peu grossière et voyante, à tel point que je me demande si ce n'est pas volontaire, mais pour de toute façon au final réussir à me perdre totalement ce que j'ai adorée puisque le suspense a tenu jusqu'au bout.

Deuxième livre lu de cet auteur et surement pas le dernier.

Encore une fois, le premier mot qui m'est venu au moment où j'ai tourné la dernière page, c'était "PUTAIN!!!"

J'avais une boule au ventre du début à la fin. Ayant déjà lu pas mal de bouquins de Maxime Chattam, j'ai commencé celui-ci sur le qui vive. Je me suis dit que je devais faire attention aux petits détails, ne pas lire trop vite et faire mes propres déductions. Ne pas suivre aveuglément le texte et réfléchir par moi-même, pour ne pas tomber dans le panneau et ne pas juste regarder là où on pointe du doigt...

Et j'ai réussi!! J'ai réussi à deviner l'identité du tueur avant la fin!! Pour la première fois!!

Mais pourtant, je me retrouve avec la même sensation que si je n'avais démasqué l'assassin.. parce que j'ai quand même été effrayée et ébranlée par tous ces détails macabres, malsains et terrifiants..

Le travail d'écriture est phénoménal et dérangeant à la fois. Je me demande à chaque fois comment en homme saint d'esprit peut parvenir à écrire ce genre de trucs, parce qu'il faut bel et bien avoir le coeur bien accroché et les tripes bien en place.. j'espère que Chattam dort bien la nuit, même si je n'en mettrait pas ma main à couper..

En conclusion, rien que pour la précision des détails, le récit qui tient la route, qui aggripe entre les pages, les rebondissements qui s'enchaînent, l'adrenaline qui empêche de stopper la lecture avant de savoir le fin mot de l'histoire, la finalité du crime et surtout, l'explication du pourquoi et du comment, ça vaut le coup d'oeil, la frayeur et le mal de ventre. C'est machiavélique, c'est macabre, c'est flippant, c'est horrible et malsain, mais on veut savoir pourquoi des types font ça, alors on lit pour avoir la réponse à la fin..

j adore l auteur mais je n ai pas aimer le theme de ce livre

J'ai eu assez de mal à entrer dans le livre et à me prendre dans l'histoire.